"J'ai toujours voulu jouer avec les plus costauds et prétendre les battre" : jouer dans un film d'action ? C'était le rêve d'enfant de cette star qui a remporté tous les prix
© Capture d'écran Prime Video
Viola Davis a fait ses propres cascades pour son nouveau film "G20" parce qu'elle avait besoin de s'amuser à ce moment de sa vie. "Je suis masochiste" confie-t-elle.
Ce n'est pas forcément la première idée qui nous vient en tête quand on pense à elle mais Viola Davis est une héroïne d'action. Elle l'a déjà prouvé avec le film The Woman King, mais elle le démontre une fois de plus avec le film G20, un film 100% action signé Patricia Riggen, qui tient la place de numéro 1 sur Prime Video.
Oui, Viola Davis fait ses propres cascades
Oui, il faut se faire à l'idée que Viola Davis est une femme d'action. Au cours d'un entretien avec Entertainment Weekly pour G20, l'actrice de 59 ans confie à quel point elle était heureuse de faire ses propres cascades.
"J'ai pratiquement tout fait, croyez-le ou pas. Je suis masochiste", a-t-elle déclaré dans l'interview. "J'avais besoin de m'amuser à ce moment de ma vie."
Une séquence de combat se déroule dans une cuisine, ce qui a procuré à Viola Davis un plaisir quasi enfantin. "Peut-être que c'est la poêle à frire et le fait de frapper quelqu'un à la tête", a-t-elle déclaré à EW. "C'est la petite Viola qui s'est le plus amusée. J'ai toujours voulu jouer avec les garçons les plus costauds et faire semblant de les démolir. J'étais cette enfant. Je n'avais pas peur. Tout le reste me semblait ennuyeux."
Rendre fière sa fille
Dans G20, Viola Davis incarne une présidente américaine qui doit défendre sa famille et le monde lorsque des terroristes prennent d'assaut le sommet du G20 au Cap. Lundi dernier, l'actrice est apparue dans l'émission Good Morning America pour promouvoir le film. Alors qu'elle s'entretenait avec le co-présentateur Michael Strahan, Davis a fait part de la réaction de sa fille Genesis, âgée de 14 ans, à l'idée que sa mère joue un rôle aussi palpitant.
"Elle était tellement excitée. Elle n'arrêtait pas de dire 'Oh mon Dieu. Maman, maman, tu es en or, maman. Tu es en or ! Et elle pleurait. Elle riait", assure Viola Davis au présentateur américain. "J'ai adoré être l'héroïne de ma fille adolescente. Parce qu'en général, à l'adolescence, on disparaît. Ils deviennent des zombies, et vous devenez autre chose qu'un héros". "Le fait qu'elle soit assise là et qu'elle me regarde comme ça... C'était juste, ouais. C'était tout", a ajouté Davis.
publié le 15 avril, Emilie Semiramoth, Allociné
