Thunderbolts * : Marvel a sauvé cet acteur qui n'avait alors pour principale ressource que cette comédie de science-fiction totalement inconnue
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Avant d'incarner le Soldat de l'Hiver, la carrière de Sebastian Stan était en difficulté et c'est "La Machine à démonter le temps", une comédie de science-fiction pourtant méconnue qui l'a aidé à survivre !
Avant qu'il ne décroche le rôle de James "Bucky" Barnes dans Captain America : First Avenger en 2011, Sebastian Stan tentait, tant bien que mal, et comme beaucoup de jeunes comédiens, de joindre les deux bouts. L'acteur a ainsi survécu grâce aux droits d'auteur de son apparition dans La Machine à démonter le temps (2010).
"J'avais vraiment du mal avec mon travail", a-t-il confié à Vanity Fair. "Je venais de terminer un appel avec mon directeur commercial, qui m'a dit que j'avais économisé 65 000 dollars grâce aux revenus de La Machine à démonter le temps."
Dans la comédie de science-fiction de Steve Pink, Sebastian Stan incarne Blaine, un tyran typique des années 80, qui terrorise un groupe d'amis (John Cusack, Rob Corddry, Craig Robinson et Clark Duke) qui remontent le temps jusqu'à leur adolescence dans une station de ski en 1986.
Après ses débuts dans le MCU en 2011, Sebastian Stan a continué à incarner Bucky Barnes dans Captain America : Le Soldat de l'Hiver (2014), Ant-Man (2015), Captain America: Civil War (2016), Black Panther (2018), Avengers: Infinity War (2018), Avengers: Endgame (2019), la série Falcon et le Soldat de l'Hiver (2021), Captain America: Brave New World (2025) et Thunderbolts* (2025).
La dernière apparition de l'acteur d'origine roumaine dans le MCU fait suite à sa nomination aux Oscars pour son interprétation de Donald Trump dans The Apprentice, sorti l'année dernière, qui lui a également valu une nomination aux Golden Globes. Lors de la même cérémonie de remise des prix en janvier dernier, il a remporté un Golden Globe pour sa performance dans un autre film, A Different Man.
Sebastian Stan est actuellement à l'affiche de Thunderbolts*, à découvrir dans les salles obscures depuis le 30 avril dernier.
publié le 3 mai, Aude Mackau, Allociné
