Attention, cet article contient des spoilers sur les prochains épisodes de Tout pour la lumière. Si vous ne voulez rien savoir, ne lisez pas ce qui suit !

Le passé ne reste jamais longtemps enfoui dans Tout pour la lumière. Et Marina (Maud Jurez) pourrait bien en faire la douloureuse expérience dans les prochains épisodes du feuilleton quotidien de TF1.

Depuis quelques jours, les élèves du studio Lumière mettent la pression à leur professeure pour les aider à passer le casting d'une publicité de luxe. Mais la chanson imposée pour les auditions la met malheureusement dans tous ses états.

Car Marina n'est pas vraiment celle que tout le monde croit connaître. Par le passé, la jeune femme s'appelait Aurélia. Et si elle a changé d'identité et de visage c'est pour une raison bien difficile.

Mais pourquoi Marina a-t-elle changé d'identité et de visage ?

Dans le prochain épisode de Tout pour la lumière, et qui est d'ores et déjà disponible sur la plateforme TF1+, Marina va révéler l'impensable à Justine (Prudence Leroy).

À l'époque, la jeune femme était en effet une danseuse prometteuse à Lyon. Si en apparence tout lui souriait, derrière les applaudissements, sa vie était bien plus tragique.

"En privé, j'avais commencé une relation vraiment toxique avec Philippe, le chorégraphe. Un jour, c'est devenu insupportable. J'ai tout quitté, je suis partie", explique-t-elle à Justine.

Si la chanson du casting la bouleverse autant, c'est tout simplement parce qu'elle lui rappelle ce passé qu'elle tente désespérément d'oublier.

Elle raconte, "Ce morceau, c'est la dernière création que Philippe a faite à Lyon et dans laquelle j'ai dansé. Mad World, pour moi, c'est tout le pire que j'ai vécu et tout ce que j'ai envie d'oublier".

Mais c'est face à ses élèves que Marina se livre le plus et met des mots sur les blessures qu'elle porte encore aujourd'hui.

"À l'époque, j'étais maltraitée par le chorégraphe de ma compagnie. C'était plutôt une maltraitance verbale, des humiliations, des regards méprisants. Il adorait me rabaisser. Par exemple, on était en répétition et il pouvait critiquer mon poids devant tout le monde. Ça m'a traumatisée et j'ai mis des années à m'en remettre. Si je vous en parle aujourd'hui, c'est justement pour que vous ne fassiez pas les mêmes erreurs que moi. Personne n'a le droit de vous maltraiter au nom de l'art. Jamais".

Changer d'identité et de visage a été pour Marina une façon d'échapper à ce cauchemar mais aussi une manière de se reconstruire.