Constance Gay (Flashback) privée d'un droit à cause de certains tournages : l'actrice admet ne pas toujours respecter ses contrats

TF1 dégaine "Flashback", sa nouvelle série événement, avec Michaël Youn et Constance Gay. Constance Gay à la première du film "La chambre d'à côté" au cinéma Pathé Palace. © Denis Guignebourg/Bestimage - © BestImage, Denis Guignebourg / Bestimage
Ce jeudi 3 avril 2025, TF1 diffuse le premier épisode de "Flashback", sa nouvelle série évènement. L'occasion de découvrir, pour le grand public, Constance Gay, qui partage l'affiche de cette comédie policière avec Michaël Youn. Mais cette jeune comédienne de 33 ans n'est pas une comédienne comme les autres...
Ce jeudi 3 avril 2025, TF1 dégaine Flashback, sa nouvelle série événement. Dans cette comédie policière, une jeune femme, policière à Lyon, est soudainement transportée dans le passé, en 1994, trois mois avant l'assassinat de son père, lui aussi policier. Elle en profite pour infiltrer l'équipe de son papa, en se faisant passer pour une collègue québécoise, et ainsi enquêter sur le drame de sa vie. Dans cette série de 6 épisodes qui a reçu la Mention spéciale du jury au Festival de la fiction de La Rochelle 2024, Michaël Youn campe le rôle du père de l'héroïne. Quant à l'héroïne, celle qui se retrouve replongée dans le passé, est interprétée par Constance Gay, une jeune comédienne de 33 ans, que l'on a vue dans Vaincre et mourir.
Mais Constance Gay n'est pas une comédienne comme les autres : elle est en effet passionnée d'équitation. C'est même, si l'on en croit les différentes interviews qu'elle a données à ce sujet, son plus grand dada dans la vie ! "Je suis passionnée par les animaux depuis que je suis née... C'est inné !", a-t-elle confié au site spécialisé Grand Prix, le 2 février 2023. "Quand j'ai eu dix ans, ma mère a fait la bêtise de m'emmener en colonie de vacances d'équitation, et j'ai attrapé le virus !", expliquait alors Constance Gay. Depuis, cette comédienne, que l'on a découverte dans les séries Unité 42 et Face à face, ne passe pas une semaine sans monter à cheval, et enchaîne même les compétitions dès qu'elle le peut !
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"Entre deux prises, j'ai un œil sur mon mobile pour savoir si le cheval va bien"Mais concilier la comédie et l'équitation n'est pas toujours simple, pour la jeune femme. Les tournages, très longs, l'empêchent parfois de s'adonner à sa passion. Au centre équestre où elle s'entraîne, "j'y suis quasiment tous les jours et lorsque je tourne, j'y viens les week-ends, mais il y a des moments où c'est impossible, comme lorsque je tourne six jours sur sept, et qu'il me faut apprendre mes textes pour la semaine suivante", confiait-elle à Cheval Magazine, le 18 janvier 2023, tandis qu'elle faisait la promotion du film Vaincre ou mourir.
Mais "entre deux prises, j'ai un œil sur mon mobile pour savoir si le cheval va bien, si son dos se muscle !", souriait-elle. Et, visiblement, que les producteurs l'empêchent de monter en selle quand elle tourne un film ou une série ne l'arrêtent pas ! "Il est parfois stipulé que je n'ai pas le droit de monter à cheval sur mes contrats, je le fais quand même un peu, confiait-elle, en souriant, à Grand Prix, le 2 février 2023. En revanche, je ne dispute pas de compétitions durant ces périodes. En soit, il y a toujours un compromis à trouver. "
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Constance Gay a toutefois pu concilier la comédie et l'équitation. Dans Vaincre ou mourir, elle a en effet tourné de nombreuses scènes à cheval, et ce n'était évidemment pas pour lui déplaire ! "Presque toutes mes scènes se passent à cheval, confiait-elle à Grand Prix. Au début, c'était très bizarre de monter en amazone, notamment vis-à-vis de l'équilibre, mais quand on pratique déjà l'équitation, on trouve vite ses repères, car on connaît le mouvement de sa monture." La comédienne avait d'ailleurs raconté à ce média spécialisé qu'on lui avait confié "les chevaux les plus compliqués parce que les autres acteurs ne savaient pas monter, donc les miens pétaient en l'air. (...) Dans beaucoup de plans de coupes, notamment de charges, on ne voit pas forcément que c'est moi qui monte, mais c'était bien moi !" Une aubaine, pour les producteurs, qui n'ont pas eu besoin de la remplacer par une doublure !
publié le 3 avril, Louise Martin , Purepeople