EXCLU Après son départ de Koh-Lanta 2025, Maxime charge Louise mais pas que : "Je suis tombé de 5 étages"

Clap de fin pour Maxime dans "Koh-Lanta". Réunification lors du huitième épisode de "Koh-Lanta, La Revanche des quatre Terres". - © TF1
Il a été l'un des piliers de l'équipe verte de l'Est puis le capitaine des ex-jaunes. Aujourd'hui, alors que l'heure de la réunification a sonné dans "Koh-Lanta 2025", Maxime est éliminé. Il quitte le jeu à l'issue de la réunion des ambassadeurs, alors qu'il était serein et qu'il possédait encore son collier d'immunité. Pour "Purepeople", il raconte.
Clap de fin pour Maxime dans Koh-Lanta, La Revanche des 4 Terres. En effet, lors du dernier épisode diffusé mardi 15 avril 2025, Denis Brogniart a annoncé aux aventuriers la réunification. C'est ainsi qu'il a fallu désigner quatre ambassadeurs, représentants les quatre régions Nord, Sud, Est et Ouest. A son retour, le quatuor a annoncé la mauvaise nouvelle : c'est Maxime qu'ils ont décidé d'éliminer. Même Louise, son alliée depuis le début. Auprès de Purepeople, le grand brun aux cheveux longs revient sur son aventure et s'exprime sur sa déception.
Qu'attendiez-vous des ambassadeurs ?
Je pensais que ça serait pour moi une simple formalité. On envoie Louise comme ambassadrice et j'avais confiance en elle à 100%, j'avais passé toute mon aventure à ses côtés.
Qu'avez-vous ressenti lorsque Louise vous annonce que vous êtes éliminé ?
Pour être totalement franc, je n'en croyais pas mes oreilles. J'étais à des années lumières de penser qu'ils allaient mettre mon nom, j'étais vraiment confiant. En plus, j'avais encore mon collier d'immunité, j'étais serein. Donc ça a été la pire désillusion possible, une vraie déception.
Lors de la réunion des ambassadeurs, Louise indique considérer son vote comme de la trahison. Est-ce ainsi que vous le ressentez également ?
Ce que je comprends à ce moment, c'est que l'équipe verte éclate et j'en paye les frais. Parce que j'avais confiance en Louise mais aussi en Gaëlle et Céline. On avait fait un début d'aventure solide ensemble, on était très unis. Mais Louise a donné mon nom pour se protéger... Après, stratégiquement, c'était bien joué de leur part.
Louise explique que le camp jaune était d'accord pour mettre votre nom, mais aussi que Gaëlle et Céline, ex-vertes, avaient soufflé votre nom aux rouges. Qu'en pensez-vous ?
En fait, si on regarde bien, tout le monde voulait mettre mon nom. Tout le monde s'est mis d'accord, que ce soit chez les rouges, chez les jaunes aussi. Donc là, j'ai bien l'impression que c'était à l'unanimité. Et face à tout ça, je n'ai absolument rien pu faire. Même mon collier n'a pas pu me protéger comme il pouvait, je n'ai pas pu l'emmener à son terme. Je suis vraiment tombé de quatre, cinq étages. C'est un peu un tremblement de terre dans ma tête, et je suis envahi de colère.
D'après vous, pourquoi c'est votre nom qui est ressorti et pas un autre ?
Alors, je pense qu'il y a plusieurs facteurs qui entrent en jeu. En l'occurrence, le fait que je gagne la toute première épreuve en individuel, avec le bambou. J'arrive premier chez les hommes, avec un collier. Donc ça annonce un petit peu la couleur pour la suite. C'est un facteur qui peut faire peur. Ensuite, je me suis révélé quand même stratège chez les jaunes avec mon coup de bluff en disant que je jouais mon collier alors que finalement non. Ça peut aussi effrayer. Parce que quelqu'un qui est stratège est imprévisible. Aussi, les dernières épreuves ont mis en avant mon côté un peu perso, individualiste et ça ne plait pas.
Vous aviez de votre côté plutôt souhaité voir Joana partir. Pourquoi ?
Après, à ce stade du jeu, il faut bien choisir un prénom. Et à ce moment du jeu, moi, j'avais celui de Joana. Car c'est avec elle que j'avais le moins d'affinité, ça se voit sur les images.
Qu'est-ce qui a été le plus dur sur le camp pour vous ?
Je n'ai pas l'habitude de vivre en communauté. Donc là, se retrouver dans un groupe h24, ce n'était pas facile. A un moment donné, j'avais envie d'être seul. Donc c'est ce que je faisais, j'allais me promener en forêt. Et plus globalement, je trouve que tout était compliqué : la faim, la fatigue. Ca faisait un cocktail explosif. L'aventure est magnifique mais tellement difficile. A Koh-Lanta, on a l'impression de prendre 30 ans d'un coup.
Vous semblez très amaigri par rapport à votre arrivée, combien de kilos avez-vous perdu ?
Quand je me suis pesé, j'avais perdu 6, 7 kilos. Depuis, j'en ai repris plus encore ! Je dirais que j'ai repris 10 kilos. J'ai dû reprendre du galon, me remplumer comme on dit.
Comment avez-vous géré le retour à une alimentation normale ?
Je ne vous cache pas que les premières semaines ont été difficiles. Parce qu'on est dans une phase un peu boulimique. On a tendance à manger plus que ce qu'il en faut. On est encore dans ce stress de manque. Et ça a duré plusieurs semaines. Mais aujourd'hui, c'est vraiment revenu à l'état totalement normal, avec des portions très raisonnables. J'ai un peu perdu le poids que j'avais pris en trop. Donc là, c'est nickel. J'ai aussi repris le sport à fond, ça aide.
Quel a été votre premier geste au retour ?
Alors, à mon retour en France, la première chose que j'ai faite, c'est d'aller dans une boulangerie et de me faire plaisir. J'ai mangé des pains entiers avec des plaquettes de chocolat complètes. C'était violent. Mes proches n'ont pas été surpris par la situation, ils savaient que j'allais finir par me réguler.
Vous avez participé à Koh-Lanta mais aussi à L'amour est dans le pré ! Comment avez-vous vécu cette expérience ?
Franchement, c'est très, très anecdotique. C'était tellement court que, pour moi, ce n'est pas vraiment une expérience. C'était simplement un repas de famille. Il y avait l'agriculteur qui était présent à la table, avec ma tante, sa prétendante, et on a passé un bon moment ensemble à discuter, c'est tout.
Seriez-vous partant pour un Koh-Lanta All Stars ?
J'ai envie de vous dire qu'aujourd'hui, je savoure mon aventure en images, à la télé. Moi, je suis quelqu'un dans la vie qui vit l'instant présent, et je n'ai pas envie de me projeter.
Contenu exclusif ne pouvant être repris sans la mention Purepeople.
publié le 15 avril, Hiba Semali , Purepeople