EXCLU "Je suis passée de 110 kilos à 62 kilos" : Alice (Mariés au premier regard) évoque sa perte de poids et les conséquences qui ont suivi

© Alice de "Mariés au premier regard" revient sur ses opérations de chirurgie esthétique"
A l'occasion de la sortie de son ouvrage autobiographique "Je ne lui ai pas toujours souri", le 14 février 2025, l'ancienne candidate de "Mariés au premier regard" a accepté de se livrer dans "En privé avec", pour "Purepeople". Elle a notamment évoqué sa transformation physique et ses conséquences.
Le 14 février 2025, Alice K. a dévoilé un projet très personnel. Elle a sorti son premier livre, un ouvrage autobiographique qui s'appelle Je ne lui ai pas toujours souri. L'ancienne candidate de Mariés au premier regard (2024) y évoque notamment ses problèmes de poids, ainsi que les opérations de chirurgie esthétique qu'elle a subies pour tenter d'être mieux dans sa peau. Un sujet sur lequel elle est revenue lors de son interview pour Purepeople, dans En privé avec.
Ce n'est que lors de l'entrée d'Alice en maternelle qu'un surpoids a été évoqué pour la première fois. Très tôt, elle a donc été très vite privée de nombreux aliments. "C'est vrai que pour une petite fille, qui est en âge de s'amuser avec ses copines et copains, profiter des anniversaires et être privée de tout ça, c'est très dur. Mais ma mère a fait ce qui était le mieux pour moi, elle a écouté les conseils des médecins", nous a confié la jeune femme. Ses parents ont finalement appris qu'elle développait plus de cellules graisseuses que d'autres personnes. "Il n'y avait pas de solutions, à part d'être en restrictions", a-t-elle précisé.
A l'école, Alice a subi les moqueries de ses camarades durant de nombreuses années. Une situation qui a eu de terribles conséquences. A l'époque, elle a songé à mettre fin à ces jours comme elle l'a confié, très émue, à Purepeople : "Quand j'étais adolescente - ça je pense que mes parents l'ont appris dans le livre, je n'en avais jamais parlé - j'ai voulu en finir. Supporter soi-même et voir son reflet au quotidien, c'était dur. Et toutes ces moqueries qui continuaient tout le temps. Je n'ai pas réfléchi et j'ai pris une tablette de Doliprane. A cet âge-là, on ne réfléchit pas. Est-ce que le Doliprane ça va marcher ou pas ? On se dit que c'est un cachet et voilà. Et j'ai avalé cette plaquette de Doliprane en espérant m'endormir et partir. Mais j'ai eu un moment de lucidité, j'ai eu très très peur. (...) Je me suis dit : 'Mais non Alice, la vie est trop belle pour que tu en viennes là.' Donc je suis partie me faire vomir. Je suis restée quelques heures bien malade, je suis restée enfermée dans ma chambre pour que personne ne me voit."
Alice de MAPR se confie sur ses opérations de chirurgie esthétiqueCe n'est que lors de son entrée dans un collège privé qu'elle a fait face à des élèves qui l'ont acceptée "telle [qu'elle] était", une "renaissance". Mais elle a fini par atteindre les 110 kilos, une situation qui l'a poussée à se tourner vers la chirurgie esthétique comme elle l'explique dans son ouvrage. Elle a en effet subi une abdominoplastie, un lifting de la poitrine un peu plus tard, à la suite d'une perte de poids. Puis, elle a fait retendre la peau de ses cuisses et de ses bras.
"J'ai fait l'abdominoplastie avant de perdre du poids. Et même après, je ne me sentais toujours pas bien. A la suite de ça, j'étais dans mon esprit de transformation, donc j'ai perdu beaucoup de poids. C'est vrai qu'on en garde des séquelles. La peau qui pend, etc. Aujourd'hui, j'ai ces cicatrices dans mon corps. Et quand je me regarde dans la glace, ce n'est pas le corps que j'aurais rêvé avoir. Mais aujourd'hui je me dis : 'Stop avec le regard de moi-même et des autres.' Aujourd'hui, c'est comme ça et pas autrement", nous a-t-elle déclaré. Et d'ajouter qu'elle a bien vu que le regard des hommes a beaucoup changé à la suite de sa perte de poids : "Je suis passée de 110 kilos à 62 kilos, pour 1m70. Donc là quand je sortais, je n'étais plus regardée comme la bonne copine. J'étais regardée et considérée comme une potentielle proie. Parce que j'ai déjà entendu ce mot-là. C'est dur de l'entendre mais, à ce moment là, j'avais envie de vivre la jeunesse que je n'avais jamais vécue. On ne me regardait jamais."
Bien qu'elle ait profité de cette jeunesse qu'elle n'a jamais vécu, cela ne lui a pas permis d'être heureuse pour autant. Jusqu'au jour où son regard a croisé celui de Florian pour la première fois, à Gibraltar, lors du tournage de Mariés au premier regard 2024.
publié le 7 avril, Atika Mahmoudi , Purepeople