Actus people

EXCLU "Les gens ne se rendent pas forcément compte" : Léo Nadler, nouvelle recrue de Plus belle la vie, raconte son expérience en tournage

À la fin du mois de juin, un nouveau personnage va faire son arrivée dans "Plus belle la vie, encore plus belle". Léo dans "Secret Story" - © TF1/Laurent Vu

À la fin du mois de juin, un nouveau personnage va faire son arrivée dans "Plus belle la vie, encore plus belle". Un certain Esteban qui sera interprété par Léo Nadler. Ancien finaliste de "Secret Story", ce dernier a accordé une interview à "Purepeople" pour se confier sur cette expérience.

Nouvelle recrue pour la série Plus belle la vie, encore plus belle ! La production de la fiction quotidienne de TF1 mise sur une jeune personnalité révélée dans la dernière saison de Secret Story, en 2024, à savoir le finaliste Léo Nadler pour agrémenter son intrigue de l'été.

À 24 ans, il a obtenu son premier rôle pour le petit écran, celui d'Esteban, et apparaîtra à l'écran à compter du 25 juin prochain. À cette occasion, Léo s'est confié autour de cette nouvelle aventure et son personnage au micro de Purepeople.com.

Vous rejoignez le casting de Plus belle la vie, encore plus belle. Comment avez-vous rejoint la série ?

J'ai une agent qui me représente depuis octobre, qui me fait passer pas mal de castings, et j'ai passé le casting pour Plus belle la vie fin janvier, début février et ça s'est fait comme ça. De manière assez classique.

Parlez-nous de votre rôle ?

Je m'appelle Esteban, j'ai 24 ans, je viens de Bayonne et je suis policier. Et je viens à Marseille parce que je dois passer le concours de l'unité spéciale du sud-est qui est un peu le concours de ma vie pour passer au grade supérieur. Et en parallèle, je vais avoir une petite histoire d'amour.

Comment avez-vous vécu cette expérience ?

C'était vraiment mon tout premier projet. C'était un peu impressionnant quand même. Parce que dans une équipe de tournage, il y a au moins 50 personnes. Tu te fais maquiller, hop, action, on tourne, on te redirige... C'est un métier qui n'est pas simple, je trouve, acteur, honnêtement. Et j'ai trouvé ça hyper stimulant. J'adore sortir de mes zones de confort. Ma phobie, c'est de faire la même chose pendant 20 ans. Donc là, j'étais trop heureux de saisir cette première expérience, en espérant qu'il y en ait d'autres.

Comment avez-vous été accueilli par le reste de l'équipe ?

Tout le monde était trop gentil. C'était ma toute première expérience de jeu, donc j'étais un peu plongé dans un monde que je ne connaissais pas et c'était hyper cool, tout le monde était hyper bienveillant, je suis même sorti hors tournage avec les acteurs, au resto le soir. C'était très chouette.

Qu'est-ce qui vous a poussé à vous lancer dans le métier d'acteur ?

Quand j'avais 9, 10 ans, j'adorais le théâtre. Puis après, j'ai arrêté. Et c'est pendant Secret Story que je me suis régalé à faire un jeu d'acteur, à m'inventer une vie avec ma fausse soeur jumelle. Et en sortant, je me suis dit, 'qu'est-ce que j'ai vraiment envie de faire ?' La création de contenu, ce dont je vis aujourd'hui, ça me plaît beaucoup et là, je commence le mannequinat aussi, ça me plaît bien. Mais c'est vrai que j'ai toujours eu ce truc d'acting dans ma tête qui me disait que ça pourrait être trop chouette de jouer. Du coup, j'ai fait un premier stage au cours Florent l'été dernier. Et j'ai aussi fait un stage chez Pygmalion à La Toussaint. Et puis aussi, on m'a dit que Plus belle la vie, c'est la meilleure des écoles. Parce que tu es amené à beaucoup tourner. Moi, je ne suis que de passage mais même comme ça, j'ai eu l'impression d'avoir beaucoup appris pendant ces jours de tournage.

Qu'est-ce qui a été le plus dur pour vous en tournage ?

Je dirais que le plus dur, et c'est là que les gens ne se rendent pas forcément compte quand ils pensent au métier d'acteur, c'est qu'en fait, on te redirige sur ton jeu. Des fois, ça va être des mots qui doivent être changés, d'autres fois, il va falloir que tu te poses à gauche à 2 cm par rapport à la caméra. On te donne beaucoup de redirections et en même temps, il faut jouer. Et ça, je trouve ça très dur. La polyvalence, c'est ça que j'ai trouvé assez compliqué. Donc c'est vrai qu'il faut avoir les neurones connectés à différents endroits et bien faire attention à tout ce que tu fais. Et pendant que tu joues, tu as ton positionnement. C'est plein de trucs à gérer en même temps. Mais c'est ça qui est challengeant et qui est cool. Il y a le travail en amont aussi, apprendre les scènes... Du coup, j'ai fait des coachings. J'ai vraiment voulu faire le truc à 200% pour ne pas avoir de regrets. Pour me donner au maximum.

Comment vous organisiez-vous pour les tournages étant donné que vous habitez à Paris et que la série est réalisée à Marseille ?

Ce qui est cool, c'est que la prod prend tout en charge. En plus, je ne suis pas loin de Gare de Lyon. Ça se fait en trois heures. Je faisais les allers-retours, tout simplement. Je ne connaissais pas Marseille dont c'était aussi l'occasion de me promener. J'ai des copains là-bas et moi, j'adore bouger. J'ai bien aimé cet entre-deux quand j'étais à Paris-Marseille. J'allais pas mal à Cannes aussi à chaque fois que je faisais Marseille. J'ai bien kiffé descendre dans le sud.

Léo Nadler déjà tourné vers d'autres projetsAvez-vous déjà d'autres projets ?

Oui. Là, j'ai passé un casting pour un rôle principal pour un film Netflix. Donc, on croise les doigts mais le casting a duré longtemps, c'est plutôt bon signe. Je me suis dit, tu donnes tout. Après, l'enjeu, c'est aussi de semer des graines. Et si jamais on m'a bien aimé à ce moment-là, on me rappellera pour un autre projet.

Vous êtes très actif sur les réseaux sociaux et êtes devenu créateur de contenu et mannequin. C'est important aujourd'hui d'avoir toutes ces casquettes pour atteindre vos autres objectifs ?

J'ai quand même l'impression que c'est un tremplin énorme, les réseaux, aujourd'hui. Et moi, je peux remercier 2020 quand j'ai posté mon premier TikTok, parce que c'est aussi comme ça que je me suis fait démarcher pour Secret Story. Et je me dis, si j'en suis là aujourd'hui, c'est parce que j'ai osé poster et que je n'ai pas eu peur du regard des autres, parce que c'est vrai que c'est quand même un peu intimidant. Après, je pense qu'il ne faut pas que ça. Il faut du travail, il faut bien jouer. Mais c'est sûr que là, cette triple casquette que j'ai, mannequinat, influence et acting, je la ressens beaucoup parce que dans les castings, ça m'arrive beaucoup qu'on me demande mon nombre d'abonnés. En fait, les trois casquettes, vu que c'est de l'image, c'est beaucoup lié.

Contenu exclusif ne pouvant être repris sans la mention Purepeople.com.

publié le 11 juin, Emma Vanpoulle , Purepeople

Liens commerciaux