"Je me sens plus Trouvillais que Parisien" : Antoine de Caunes, propriétaire d'une maison en briques roses, évoque sa vie en Normandie
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Longtemps parisien, Antoine de Caunes a en réalité une idée bien arrêtée concernant la capitale. Lorsqu'il était enfant, un vieil homme l'a fait tomber amoureux de la Normandie pour plusieurs raisons qu'il a dévoilé aux journalistes de "Voici". Un papi dont on rêverait tous !
Antoine de Caunes a passé une partie de sa jeunesse à Trouville en Normandie. Antoine De Caunes - 3ème prix Gotlib récompensant la BD Humoristique créé par Ariane Gotlieb à Paris. © Cedric Perrin / Bestimage - © BestImage, CEDRIC PERRIN / BESTIMAGE
Antoine de Caunes a passé une partie de sa jeunesse à Trouville en Normandie. Interviewé par les journalistes de Voici, l'ancien animateur de Canal+ a parlé de son amour pour cette région où il a acheté dans les années 1990 une maison en briques roses du XIXème siècle. Une propriété qui se trouve sur la route de Honfleur dans la ville de Trouville-sur-Mer.
Il m'emmenait pêcher des crevettes
"J'y ai grandi à l'époque où ma mère louait, de Pâques à septembre, une maison de pêcheurs à un monsieur tellement génial que j'en avais fait mon grand-père, n'ayant pas connu les deux miens. Il m'emmenait pêcher des crevettes, on allait jusqu'à Honfleur par la mer ou la campagne, il me faisait boire du cidre dans les guinguettes et je rentrais pompette... Alors, oui, je me sens plus Trouvillais que Parisien. Pour autant, je déteste l'idée de boucle à boucler, votre question m'angoisse. Je vous rappelle que dans ma tête je n'ai que 13 ans...", a-t-il confié.
Conseiller éditorial du magazine trimestriel Vieux, l'époux de Daphné Roulier et papa de trois enfants (il est le père d'Emma née en 1976 de son amour avec Gaëlle Royer, de Louis de Caunes, né en 1987 de son amour avec Agnès Léglise et de Jules, né en août 2008 de son amour pour Daphné Roulier) a indiqué être impatient de fêter le premier anniversaire de son magazine qui propose pour l'occasion un numéro dédié au corps ainsi que des interviews de José Garcia, de Franck Dubosc ou encore d'Agnès Jaoui.
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Antoine de Caunes toujours "facétieux" à 71 ansAlors, vieux, est-ce juste un état d'esprit selon le producteur ? Il répond : "Ce n'est pas une question d'âge. Certains le sont très tôt, d'autres restent jeunes jusqu'au bout. C'est une tournure d'esprit, une manière de garder une forme de curiosité, d'enthousiasme. J'aime beaucoup la phrase de Groucho Marx: 'Dans chaque vieux, il y a un jeune qui se demande ce qui s'est passé.' À 71 ans, je suis biologiquement dans cette catégorie. En revanche, j'ai gardé intacte une part d'enfance et je la protège des assauts du monde sérieux. Je suis toujours aussi facétieux...".
publié le 20 juillet, Anouchka Volkov , Purepeople