Il y a quelques jours, Laurence Boccolini a accordé une interview vidéo à Les Lueurs. Dans celle-ci, l'animatrice de France Télévisions a parlé sans détour de son poids et de la raison pour laquelle elle a mis du temps avant d'en perdre.

La maman de Willow - dont le père est Mickaël Fakaïlo (Mister Tahiti 2002), 19 ans son cadet - a évoqué sans détour le sujet de sa santé et de son poids, n'hésitant pas à revenir sur les années les plus sombres. "Quand j'ai commencé à vraiment grossir jusqu'à atteindre 165 kilos, vous le voyez au moment où je fais Le Maillon Faible et au moment où je fais Money Drop qui est donc 10 ans après. Je suis à mon pic à Money Drop", déclare-t-elle.

Laurence Boccolini ne voulait au départ par perdre de poidsDes kilos qu'elle a mis du temps à perdre par peur de décevoir les téléspectateurs. Une raison bien surprenant mais qu'elle explique de façon claire : "Les gens m'aimaient comme ça, se reconnaissaient en moi, j'étais aimée parce que je montrais une image qui était différente. On disait : 'Oh bah enfin, alors elle, elle nous ressemble. Elle est ronde, elle est machin..." Donc en fait c'est comme si je voulais leur faire plaisir en disant : 'Oui je ne suis pas bien dans ma peau mais vous m'aimez comme ça, donc je vais continuer à être pas bien dans ma peau.'"

Les années ont passé et Laurence Boccolini a finalement perdu du poids. Des kilos en moins nécessaires comme elle l'a expliqué à Purepeople : "Il fallait que je perde du poids pour ma maladie [elle souffre d'une polyarthrite rhumatoïde, NDLR] car j'ai une petite fille [Willow, NDLR] âgée de 5 ans. Avec le poids que je faisais, les doses de cortisone que je prenais, ce n'était plus supportable, il fallait que je maigrisse. Ma fille a 5 ans, elle court et moi il faut que je suive. C'est tout simple."

L'animatrice qui a perdu il y a peu la présentation Des enfants de la télé sur France 2 ne ressemble plus à la présentatrice de ses débuts. Sa vie a malheureusement aussi été impactée par la maladie. Elle est en effet touchée par un paragangliome intra-tympanique à l'oreille gauche, une tumeur très mal placée qui lui gâche la vie. Et avec qui elle doit cohabiter quoi qu'il arrive. Ce sont des tumeurs auxquelles on ne touche plus. Avant, on les opérait, mais c'est beaucoup trop dangereux. [...] Ils n'osent plus toucher à cet endroit-là, c'est dans l'oreille, près des nerfs", avait-elle expliqué sur RTL.