Actus people

Stéphane Bern obligé de continuer à travailler et proche de la ruine : "Malheureusement..."

À l'approche de l'Eurovision qu'il va présenter pour France Télévisions, Stéphane Bern a accordé une interview à "Télé Loisirs". Exclusif - Stéphane Bern - Emission "Le concert pour la paix" sur les Champs-Elysées à Paris, retransmis en direct sur France 2. © Christophe Clovis - Pierre Perusseau / Bestimage - © BestImage, Clovis - Perusseau /Bestimage

À l'approche de l'Eurovision qu'il va présenter pour France Télévisions, Stéphane Bern a accordé une interview à "Télé Loisirs". L'animateur en a profité pour parler de son avenir à la télé, avouant ne pas pouvoir encore prendre sa retraite, faute de moyens...

Le 17 mai prochain, l'édition 2025 de l'Eurovision aura lieu à Bâle, en Suisse. Et la France va compter sur Louane Emera pour la représenter. La chanteuse très populaire essaiera alors à ce moment-là de mettre tout le monde d'accord sur un titre très intime appelé Maman.

Stéphane Bern commentera de son côté cette 69e édition du concours, retransmise sur Culturebox et France 2. À cette occasion, le célèbre animateur a accordé une interview à Télé Loisirs. Et à la question de savoir s'il pourrait prendre sa retraite prochainement, lui qui est encore très présent sur nos écrans pour différents rendez-vous, la réponse est non ! La raison : il ne peut tout simplement pas se permettre d'arrêter de travailler.

"Malheureusement, je ne suis pas rentier !", avoue-t-il d'entrée. Et de s'expliquer : "Je n'ai rien mis de côté et j'ai de vieilles pierres qui me ruinent, donc je continue à pédaler comme un hamster dans sa roue (rires)." Car il faut rappeler que le compagnon de Yori Baillères s'est endetté à hauteur de 4 millions d'euros, à rembourser sur 25 ans en se réappropriant le Collège Royal de Thiron-Gardais, en Eure-et-Loir en 2013.

Stéphane Bern a des journées bien rempliesHeureusement, Stéphane Bern n'a aucun mal à poursuivre sa carrière malgré le rythme prenant que celle-ci lui impose. "J'ai la chance d'être passionné par mon métier. Je suis tellement heureux de tout ce que je fais ! Et j'avoue que, si je n'y prenais plus de plaisir, j'arrêterais. Il faut se lever à 6 heures, se coucher très tard, les gens ne voient pas forcément tout ça."

Pour s'aider, en dehors de la télé, Stéphane Bern a aussi fondé trois sociétés, sort régulièrement des ouvrages souvent portés sur l'histoire dont il est passionné et a même déposé la marque Paris Le Perche auprès de l'Institut National de la Propriété Industrielle (Inpi).

publié le 9 mai, Liane Lazaar , Purepeople

Liens commerciaux