Affaire conclue : "J'espère que ça va monter", déçue par l'offre des acheteurs une candidate tente le tout pour le tout

© Capture d'écran Affaire conclue / France 2
Fait rare dans l'émission Affaire conclue le mardi 25 février 2025, une candidate n'a pas été convaincue par le prix proposé par les acheteurs, qu'elle a jugé trop bas.
Dans le numéro d'Affaire conclue diffusé le mardi 25 février 2025, Sandrine, 42 ans, a tenté sa chance pour vendre un bouc en bronze qui appartenait à la grand-mère puis à la mère de son compagnon. Originaire d'une ville située à 30 kilomètres environ de Bruxelles, en Belgique, elle a expliqué à l'animatrice Julia Vignali que son objet n'était pas dans le style de sa maison et qu'elle souhaitait donc s'en séparer. L'œuvre signée par Eugène Verboeckhoven, un artiste belge, a beaucoup inspiré Marc Labarbe. Le commissaire-priseur l'a estimée 800 euros, histoire d'être large, ce qui n'a pas convaincu Sandrine.
Affaire conclue : Sandrine avait un prix de réserve très élevé en tête
"Je trouve que l'estimation est un peu basse par rapport à ce que j'ai vu pour cet artiste-là. J'espère que ça va monter un petit peu plus mais je suis tout à fait confiante. Je pense que ça va le faire !", a-t-elle livré devant la caméra, pleine d'espoir. Caroline Margeridon a commencé les enchères à 100 euros, avant que ses camarades ne fassent grimper le prix laborieusement avant de s'arrêter à 820 euros. "Je ne peux pas", a alors déclaré Sandrine, à la surprise générale. En effet, cette dernière avait un prix de réserve de 1500 euros en tête. "On m'a dit de le défendre parce que c'est une pièce exceptionnelle", a-t-elle ajouté.
"Ce sera une affaire non conclue malheureusement"
Djamel Bentenah a bien voulu faire un effort en faisant grimper l'enchère jusqu'à 950 euros. Aurore Morisse, la compatriote belge de Sandrine, est même allée jusqu'à proposer 1000 euros. "Ce sera une affaire non conclue malheureusement", a finalement répondu la vendeuse, un peu déçue. "J'ai été à mon maximum, je pense que Djamel aussi", a fait savoir Aurore Morisse en coulisses. Les deux acheteurs ont fait comprendre qu'ils devaient ensuite revendre l'objet, ce qui explique pourquoi ils ne pouvaient aller au-delà. "Donc c'est une affaire non conclue et on garde le sourire. Y'en aura d'autres !", a fini par conclure Djamel Bentenah avant que l'émission de France 2 reprenne son cours.
publié le 2 mars, Sébastien J., AlloCine