C'est une nouvelle qui risque d'attrister de nombreux téléspectateurs. Le mardi 24 juin dernier, la dernière saison de Koh-Lanta, La Revanche des 4 Terres s'est achevée avec la victoire de Gaëlle face à Jérôme et Maël. La candidate est donc repartie avec un chèque de 100 000 euros : "Ça représente un rêve, ça représente un honneur de représenter l'Ain et de rendre fière mes filles. C'est incroyable, je suis ravie. Je n'y crois pas", avait-elle lancé seulement quelques instants après sa victoire.

Koh-Lanta : pourquoi l'émission ne sera-t-elle pas de retour cette année ? TF1 s'explique

Si les téléspectateurs ont l'habitude d'attendre seulement quelques mois avant de retrouver une nouvelle saison de Koh-Lanta, l'attente risque d'être plus longue cette année. C'est en tout cas ce qu'ont appris nos confrères de Puremédias lors d'un échange avec Xavier Gandon, le directeur des antennes TV et digitales de TF1. Selon lui, la prochaine saison a bel et bien "déjà été mise en boîte". Cependant, "il faudra patienter jusqu'à 2026" pour la découvrir. Et cette décision, loin d'être anodine pour les fans de Koh-Lanta, a été mûrement réfléchie par la chaîne : "Notre stratégie c'est de proposer une diffusion cyclique de l'émission : équilibrer entre 1 à 2 saisons par an." Koh-Lanta ne sera donc pas de retour avant l'année prochaine !

Koh-Lanta : "une très grosse nouveauté" dans la prochaine saison ? Denis Brogniart raconte

Quoi qu'il en soit, cette prochaine édition de Koh-Lanta risque d'être une saison d'anthologie. Invité dans l'émission Culture Médias sur Europe 1 le vendredi 27 juin 2025, Denis Brogniart s'est laissé aller à quelques indiscrétions au sujet de cette dernière : "Elle sera belle", a-t-il d'abord lancé au micro de Thomas Isle. "Elle sera très différente de celle-ci. (...) Ce sera une saison classique, avec une très grosse nouveauté. Je ne vous en dirais pas plus, c'est un teaser", a-t-il ajouté. L'animateur phare de l'émission a également évoqué le rythme de diffusion des saisons du jeu : "Ce qui est marrant, c'est que quand on en fait deux par an, il y a des gens qui disent : 'On ne devrait pas en faire deux par an !' et puis dès qu'on en fait plus qu'un par an et qu'on laisse passer deux ou trois mois, dans la rue je passe mon temps à dire : 'Non mais ça va revenir, rassurez-vous !'"